En Nouvelle-Calédonie aussi on s'organise autour de la transition. Il est devenu indispensable d'organiser notre vie en ville (et pas seulement) de façon responsable, raisonnée et surtout avec un regard tourné vers l'avenir au bénéfice des générations futures. La journée de la transition urbaine permet ainsi de découvrir les solutions existantes et déjà mises en place. C'est aussi l'occasion d'échanger sur des thèmes aussi variés que : - l'habitat - les outils et les technologies - la culture et l'éducation - la santé et le bien-être - les finances et l'économie - le patrimoine et la communauté - le soin à la nature et à la terre Permalife-Permavie souhaite à chacun d'y trouver des réponses ou tout simplement d'y découvrir une approche différente du monde qui nous entoure. David Rizet-Blancher Pour en savoir plus : https://assomaleva.files.wordpress.com/2016/10/dossier-de-presse-jtu-2016.pdf https://assomaleva.wordpress.com/2016/08/20/ journee-de-la-transition-urbaine
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Voilà un sujet on ne peut plus important qui mérite de faire le buzz à la différence bien d’autres sujets d’actualité de bien moindre importance. Ce reportage est édifiant. L’eau est source de vie sur notre planète la Terre. Certains l’ont bien compris et en font un business. Gagner le plus possible d’argent est le seul but voire l’ultime objectif de certaines personnes non scrupuleuses, cupides et encore moins soucieuses de son prochain. Quelle aberration que ces usines comme celles de Nestlé qui se présentent comme un exemple et la seule solution face aux problèmes d’eau dans certains pays. L’eau qu’ils vendent n’est même pas de l’eau de source mais seulement de l’eau pompée dans les nappes phréatiques, traitée puis mise en bouteille. Boire de l’eau en bouteille devient même un luxe et une façon d’afficher son appartenance sociale, une mode. Mais que faut-il donc pour que les gens remettent les pieds sur terre ? Si des usines de ce type peuvent voir le jour pourquoi les gouvernements concernés ne construisent-ils pas eux-mêmes et ne mettent-ils pas à la disposition de leur population ces mêmes procédés afin de les alimenter en eau potable ? L’eau insalubre à la consommation est le symptôme d’un malaise plus profond et le traitement de l’eau n’est qu’une solution palliative. Pourquoi traiter les symptômes ? Pourquoi ne pas prendre le problème à la source (sans jeu de mots) et éliminer ce qui est la cause de la pollution de l’eau ? Tout ceci paraît tellement logique dans l’absolue, si l’on ne considère pas l’argent comme une finalité. La raison d’être d’une entreprise est de gagner de l’argent certes mais pas à tout prix tout de même. Et puis la croissance n’est pas éternelle. Le modèle économique que nous connaissons arrive à ses limites et on le voit bien dans le monde, tous les jours, à la télévision. L’argent nourri des égos et des conflits qui n’ont pas lieu d’être. Dans le monde des hommes et des femmes perdent toute notion de responsabilité à cause de l’argent au détriment de leurs familles. Des mères sont capables de laisser seuls leurs enfants pour aller jouer aux jeux d’argent comme le bingo ou des pères vont vendre leur âme au diable pour gagner plus d’argent en travaillant pour des sociétés comme Nestlé qui n’ont aucun scrupule pour leurs employés comme pour leurs clients. L’Etre Humain peut être cupide au point de dénaturer et de détruire sa source de vie qu’est l’eau. David Rizet-Blancher L’IRD, Institut de Recherche et Développement, est un organisme de recherche français qui a pour objectif de contribuer au développement social, économique et culturel des pays du Sud. Le centre de Nouméa est, plus particulièrement, orienté sur les problématiques liées aux conséquences des changements climatiques, couvrant des thèmes tels que environnement et ressources, sociétés et territoires ainsi que santé et environnement. C’est dans cette optique qu’a été mobilisé pour la Nouvelle-Calédonie par l’IRD, un outil participatif visant à impliquer les populations insulaires dans les choix d’aménagement de leur territoire, en leur faisant prendre conscience des impacts dus aux changements climatiques. C’est à l’occasion d’une conférence axée sur les "Aspects juridiques dans les changements environnementaux en Nouvelle-Calédonie" animée par Victor DAVID, chargé d’études au Centre IRD de Nouméa, que j’ai découvert l’existence de cet outil. J’ai par la suite eu l’occasion de rencontrer Victor DAVID qui m’a aimablement reçu dans les locaux de l’IRD où il m’a fait une présentation plus détaillée. La méthodologie utilisée doit permettre aux populations de mettre en place des solutions en prévention de catastrophes naturelles et de changements environnementaux. Chacun devient alors acteur dans l’élaboration de ces solutions en y apportant ses connaissances, son expérience, son vécu, ses observations, son ressenti, sa vision d’avenir. C’est l’occasion d’échanger en vue d’arriver à des solutions décidées en commun entre les populations et les institutions. Une façon très pratique et ludique d’arriver à ce résultat a été de réunir les gens autour de la cartographie participative. La population d’Ouvéa a fait l’expérience de la création d’une carte en 3D à partir de matériaux de récupération (cartons, planches en bois, etc…). L’objectif de cette carte était d’identifier les zones qui allaient être impactées par la montée des eaux dans les années à venir (les premiers signes étant déjà là), afin de mettre en œuvre les solutions qui s’imposent ; à savoir, entre autres, la relocalisation d’une partie de la population en prenant en compte toutes les conséquences que cela peut avoir au niveau logistique, coutumier avec le problème du foncier, etc… Bref, une réorganisation complète du territoire en prévision de cette montée des eaux. Certains ont vu dans cette carte 3D un outil permettant aussi de localiser les personnes handicapées, de mettre en place des procédures d’évacuation en cas de catastrophe naturelle par exemple. Des voies d’accès ont été également découvertes par les équipes d’urgences leur permettant d’améliorer leur efficacité en cas d’intervention. Les applications et les avantages sont multiples. Aujourd’hui, la population d’Ouvéa s’est totalement appropriée cet outil. Le rôle l’IRD a été de les guider dans cette démarche et au final ce sont les personnes elles-mêmes qui ont trouvées les solutions. La cartographie participative a déjà été utilisée dans d’autres îles d’Océanie telles que les Îles Marshall, Tuvalu, Kiribati et Tuamotu. En octobre 2016 est prévue à Poindimié une présentation par l’IRD de cet outil en vue de l’appliquer sur les communes de Touho, Ponérihouen et Poindimié. Participeront à cette session également les îles Kiribati et Tuamotu. On parle beaucoup ces derniers temps du projet de barrage sur Pouembout. Etant originaire de ce village, je suis particulièrement sensible à ce qu’il s’y passe notamment au niveau environnemental. Un barrage, quelle que soit sa taille, a inévitablement un impact environnemental et peut engendrer des modifications importantes en termes de réaménagement du territoire. Il y a tout d’abord la zone directement impactée par le stockage de l’eau mais aussi le passage des canalisations et les exploitations agricoles qui pourront se connecter. En cas de très fortes pluies, le niveau peut atteindre les seuils de sécurité nécessitant des lâchés dont la quantité d’eau peut être conséquente et créer une érosion prématurée. Il ne faut pas oublier non plus les terres coutumières qui pourront être impactées d’une façon ou d’une autre. Autant de questions et problématiques qui peuvent être identifiées, abordées et traitées en y impliquant les populations de la région, qui connaissent particulièrement bien leur environnement et qui pourront ainsi avoir le sentiment de satisfaction d’avoir pu contribuer directement au développement et à la protection de leur territoire, en évitant de léser qui que ce soit. Ne parle-t-on pas de destin commun en Nouvelle-Calédonie ? Voici donc un outil on ne peut plus pratique permettant d’y contribuer. David Rizet-Blancher Le Sénat rejette le projet d'interdiction des néocotinoïdes, ce fameux pesticide responsable de la mort des abeilles. http://reponses.agirpourlenvironnement.org/neonicotinoides-senateurs/ Quels arguments ont-ils été présentés à nos sénateurs pour qu'ils prennent une telle décision ? Sont-ils informés de l'impact environnemental ? Les abeilles sont les principaux pollinisateurs sur notre Planète. Sans abeilles certaines plantes ne pourront plus produire de fruits ou de graines. Sans fruits et sans graines les plantes ne pourront plus se reproduire et disparaîtront. Ces plantes constituent la base alimentaire de tant d’êtres vivants y compris l’homme. Avec leur disparition ce seront des écosystèmes entiers qui s’éteindront encore si de telles décisions sont prises. Cette décision est-elle bien réfléchie et prise en connaissance de cause ? S’agit-il tout simplement d’une méconnaissance du sujet surtout lorsque l’on connaît les lourdes conséquences que cela implique ? Ont-ils seulement pris connaissance des rapports des industriels producteurs de néocotinoïdes ou se sont-ils aussi intéressés aux producteurs de miel ? Des intérêts économiques seraient-ils leur seule motivation ? Des solutions alternatives existent déjà. Pourquoi ne pas trouver des compromis afin de s’engager dans une phase de transition en vue de mettre en place ces solutions alternatives ? A l’industrie de s’adapter à la Nature et pas l’inverse. Des hommes et des femmes ont les connaissances et ne demandent qu’à être écoutés afin de pouvoir les partager. Ils ne sont peut-être pas tous scientifiques cependant ils ont des résultats concrets. Intéressons-nous à eux et donnons leurs plutôt les moyens d’aller encore plus loin afin qu’ils nous aident à préserver notre si généreuse Nature plutôt que de continuer à la détruire encore plus chaque jour avec de telles décisions. David Rizet-Blancher Une conférence, animée par Victor DAVID, chargé d’Études au Centre IRD de Nouméa, sur les "Aspects juridiques dans les changements environnementaux en Nouvelle-Calédonie", a eu lieu ce mercredi 11 mai 2016 à l'Université. Cette conférence, de qualité, était articulée autour de 2 parties principales :
L'article 7 donne à toute personne le droit à l'information environnementale et le droit de participer à l'élaboration des décisions publiques ayant une incidence sur l'environnement. Cet article a été transposé dans le droit calédonien. Toutefois, il n'est pas appliqué de la même façon d'une province à l'autre. La Nouvelle-Calédonie étant un petit territoire, une uniformisation du droit et de la réglementation en matière d'environnement apparaît comme une évidence. Compte-tenu de sa nature, l'article 7 pourrait constituer la première modification de la loi organique en vue d'une application commune de ce dernier, puisque notre petit Pays tend vers le « destin commun ». Sur la base de cet article, l'IRD a développé un outil très intéressant donnant à la population la possibilité de participer à la mise en place de mesures en vue de se préparer et d'anticiper les changements environnementaux qui sont déjà en marche, comme la montée des eaux qui constitue l'une des préoccupations principales dans les îles du Pacifique. Cet outil a pour but non seulement de sensibiliser la population mais aussi de la former à être partie prenante des décisions citoyennes. Il est parfaitement aligné avec la devise du Pays : "Terre de parole, terre de partage. Cet outil a déjà été testé dans des exercices bien particuliers à Ouvéa, dans les Iles Loyautés, ainsi que dans d'autres îles du Pacifique. Les échéances sont courtes puisque les simulations prévoient des changements climatiques irréversibles à partir de 2040 en Nouvelle-Calédonie, qui fait partie des territoires qui sont parmi les premiers touchés dans le monde : augmentation notamment du niveau des mers. Déjà aux Salomons, 5 petits atolls ont disparus. Il y a donc urgence à se préparer afin d'anticiper ces changements. La Nouvelle-Calédonie saura-t-elle tirer profit d'outils tels celui de l'IRD pour protéger ses populations et ses ressources, pour amener les gens à devenir acteurs de la sauvegarde de l’île ? David Rizet-Blancher Il y a un peu plus d’une semaine a eu lieu une rencontre intéressante entre des patrons membres de l’AMD (Association Maintenance Durable) et la Province Sud. Le sujet de cette rencontre était la crise du Nickel que traverse actuellement la Nouvelle-Calédonie et l’impact sur les entreprises locales. Au travers de l’AMD, ses membres ont souhaité interpeler les institutions du territoire sur la gravité de la situation économique pour les PME. Les institutions vont donc maintenant être informées officiellement de la situation réelle des entreprises, de leurs difficultés et aussi et surtout de la façon dont elles sont traitées par les donneurs d’ordre tels que les industriels du Nickel. Cette rencontre et cet état des lieux aura-t-il un effet boule de neige ? Quelles seront les solutions que les institutionnels et les politiques apporteront ? Seul un avenir que chacun espère très proche nous le dira. On peut bien évidemment se poser des questions sur les causes de cette crise du Nickel en Nouvelle-Calédonie mais l’heure n’est pas à l’analyse mais plutôt à trouver des solutions. L’industrie liée au Nickel n’est pas sans impact sur l’environnement surtout lorsque les donneurs d’ordres ne respectent pas leurs engagements en terme de revégétalisation par exemple ou qu’ils négligent leur maintenance. Les montagnes de la Nouvelle-Calédonie conservent les cicatrices des décennies d’extraction du Nickel de son sol. La terre est meurtrie. Aujourd’hui, c’est aussi son magnifique lagon classé au patrimoine mondial de l’UNESCO qui est menacé. Certains complexes industriels sont tellement à risque qu’ils sont qualifiés de « bombes écologiques». L’industrie n’est toutefois pas le seul risque pour l’environnement : cet été les plages de Nouméa ont été fermées de très nombreuses fois pour cause de pollution à la matière fécale, entre autres. De quoi se poser des questions tout de même sachant que l’origine de ces pollutions n’a pas été divulguée. La biodiversité calédonienne est l’une des plus belles au monde et l’on y trouve un nombre important d’espèces endémiques. Certaines ne peuvent être trouvées que dans des lieux uniques sur le territoire. Par ailleurs, les richesses dont regorge la barrière de corail sont importantes pour la biodiversité. Dernièrement suite à un commentaire laissé sur la page Facebook d’un organisme engagé dans la protection de l’environnement faisant état de la situation environnementale de la Calédonie, ce dernier a répondu que nous ne sommes vraiment pas si mal lotis sur notre « Caillou » comparé à d’autres pays. Il est vrai que si l’on prend du recul, on se rend compte que notre « Caillou » est magnifique et pas encore trop pollué. C’est pourquoi il est important d’en prendre soin. La nature y est encore à peu près préservée. Il faut toutefois faire plus. La crise du Nickel ne serait-elle pas le bon moment pour se poser les bonnes questions ? Ne serait-ce pas un mal pour un bien ? En plus de la crise, comme précisé précédemment, le Nickel n’est pas éternel. Que se passera-t-il si demain l’industrie minière s’arrête en Nouvelle-Calédonie ? Que deviendront ces usines récentes et anciennes ? Il est impensable au lendemain de la COP21 de laisser ces infrastructures à l’abandon. Elles devront être démantelées et les matériaux recyclés d’une façon ou d’une autre. Dans certains pays d’Afrique où la population est très pauvre, des hommes et des femmes rivalisent d’ingéniosité en termes de recyclage notamment. Ils récupèrent des objets devenus déchets et les transforment pour leur donner une seconde vie. C’est leur situation qui les pousse à trouver des solutions pour nourrir leurs familles et survivre. N’est-ce pas là une opportunité pour la Nouvelle-Calédonie de développer de nouvelles compétences à l’instar de ces hommes et ces femmes en Afrique et de développer un savoir-faire en matière d’environnement, de recyclage qui pourra servir d’exemple pour le reste du monde tout du moins pour la région Océanie ? Le tourisme est très compliqué ici. Il n’a jamais décollé. Les billets d’avion sont hors de prix, des hôtels 5 étoiles poussent presque comme des champignons mais ne sont jamais remplis car ils sont seulement des outils fiscaux. Ils se dégradent très rapidement car construit au rabais et peu ou pas entretenus. Les retombées économiques de ces établissements sont minimes. Pour faire simple, le tourisme en Nouvelle-Calédonie y est quasiment inexistant si on le compare à celui de la Polynésie, par exemple. De plus en plus de personnes dans le monde recherchent aujourd’hui de l’authentique et surtout des activités proches de la nature. Nous avons tout cela en Nouvelle-Calédonie. C’est même une richesse inestimable. Pourquoi ne pas développer un tourisme agro-écologique ou encore appelé éco-tourisme ? Tout pousse quasiment et toute l’année pour ainsi dire. 88% des plantes y sont endémiques et la biodiversité y est extraordinaire. La permaculture est une méthode de culture que pratiquent déjà les Kanaks de façon instinctive. Ce que l’on appelle le « jardin kanak » n’est autre qu’un lieu où sont mises en terre des plantes qui vont pousser toutes seules quasiment sans l’aide de la main de l’homme. N’est-ce pas ce que l’on appelle aujourd’hui permaculture ? Le territoire de la Nouvelle-Calédonie constitue un immense potentiel au niveau environnemental et la conjoncture économique peut être une magnifique opportunité pour le « Caillou » de se faire connaître dans le monde et d’être précurseur voire un exemple en matière de recyclage, de culture agricole durable et en matière d’environnement d’une façon générale. C’est maintenant que les choses doivent être initiées. L’opportunité est créée. Ne la laissons pas passer. Les conférences de l'université
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Le monde évolue, il est en pleine transformation et l'être humain fait partie de ces changements puisqu'il est lui-même à l'origine du plus important de tous pour notre planète et pour l'humanité : le réchauffement climatique. On parle même d'un effondrement de la société telle que nous la connaissons aujourd'hui. Evidemment ceci parait catastrophique, cependant il existe des solutions pour sortir de cette catastrophe sans trop de dommage et c'est aujourd'hui que tout se joue. Tous les jours aux 4 coins du monde il y a des hommes et des femmes ordinaires qui créent ces solutions. Un nouveau paradigme politique et économique est en train de se mettre en place. Dans ce paradigme l'argent est un outil et non une fin en soi. Lucide, l'auteur sait qu'il n'est pas possible de stopper aujourd'hui toutes les industries pour arrêter les émissions de dioxide de carbone dans l'atmosphère. Cependant il existe des solutions pour limiter ces émissions. Parmi ces solutions, il y a le bon sens. Consommer différemment, moins et surtout consommer intelligemment telle est sa philosophie. Il est urgent aujourd'hui d'agir pour garantir aux générations à venir un futur dans lequel le "vivre avec la nature" qui nous entoure sera la priorité. L'auteur, à travers ce livret, présente de façon très pédagogique son point de vue sur la maintenance telle qu'elle pourrait être pratiquée. La MBBS - La maintenance basée sur le bon sens |
The world is changing, it is undergoing a transformation and the Human Being is part of these changes since he is himself the source of the most important of all for our planet and for humankind: the climate change. There is even talk of a collapse of the society as we know today. Obviously this seems catastrophic, however there are ways out of this disaster without too much damage and it is today that everything is played. Every day at the 4 corners of the world there are ordinary men and women who create these solutions. A new political and economic paradigm is being put in place. In this paradigm money is a tool and not an end in itself. Lucid, the author knows that it is not possible to stop all industries today to stop carbon dioxide emissions to the atmosphere. However there are solutions to reduce these emissions. Among these solutions there is common sense. Consume differently, less and especially consume intelligently so is his philosophy. It is urgent to act now to ensure generations to come a future in which "living with nature" around us will be the priority. The author, through this book, presents in a very educational way his views on maintenance as it may be practiced. CSCM - Common Sense Centered Maintenance |
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