Voilà un extrait tiré d'un livre d'Omraam Mikhaël Aïvanhov - Puissances de la pensée" - qui permet de remettre les choses à leur place dans l'évolution de l'espèce humaine. La science est un outil qui doit permettre à l'espèce humaine de parfaire son évolution et elle ne doit en aucun cas être un outil pour l'asservir et le rendre paresseux. Extrait de : "Puissances de la pensée" - Omraam Mikhaël Aïvanhov. "En réalité, c'est bien de lier les deux, les moyens intérieurs et les moyens extérieurs, pour accélérer les choses, mais il faut commencer à travailler tout d'abord avec l'âme, l'esprit, la pensée et ajouter ensuite quelque élément physique pour faciliter le processus. Pour le moment, c'est tout le contraire qui se produit : la science fait des découvertes, la technique et l'industrie les appliquent, cela fait marcher l'économie du pays, et alors dans l'intérêt de l'économie, on empoisonne et on affaiblit l'espèce humaine. Pour que la science grandisse, l'espèce humaine doit péricliter ! Vous trouvez que j'exagère ? Mais non, pas tellement. On travaille pour le progrès de la science, mais pas pour le progrès des humains. Pour entretenir le feu de votre four, vous devez lui donner des combustibles. Eh bien, les combustibles ici pour la science, ce sont les humains... Allez, dans le four ! Et le four continue à fonctionner grâce à ces victimes. D'ici cinquante ans, il n'y aura plus un homme bien portant, et quand je dis cinquante ans, je suis généreux. On vous dit : "Prenez ceci, prenez cela", et vous vous intoxiquez. Moi je dis: ne prenez rien du tout, mais mangez bien, respirez bien, travaillez bien, dormez bien, et surtout pensez bien ! Mais je sais que même si je dois parler des siècles sur ce sujet, très peu me suivront. La majorité dira :Avoir recours au monde intérieur, à la pensée, tu parles ! Non, non, nous savons ce que nous savons !" et ils continueront à chercher tout à l'extérieur. Mais oui, on peut dire qu'à cause de tous les appareils et machines que la science a mis à leur disposition, les humains sont en train de perdre peu à peu leurs facultés, car ils ne font plus d'effort, plus aucun travail intérieur. Jamais ils ne gagnerons rien ainsi. Les moyens extérieurs ne font en réalité que les affaiblir tant qu'à l'intérieur les forces de l'esprit restent somnolentes et paralysées. En apparence il y des progrès dans le mode de vie, mais en réalité il se produit un affaiblissement de la volonté, de la vitalité. D'ailleurs, depuis quelque temps, certains penseurs, certains savants commencent enfin à douter que tout le progrès technique contribue vraiment au bien de l'humanité. Doit-on maintenant arrêter le progrès ? Non, c'est la nature elle-même qui pousse les humains à faire des recherches. Il ne faut jamais s'arrêter de chercher, il ne faut jamais s'arrêter d'approfondir les mystères de la nature. Mais ces recherches doivent être orientées différemment, il faut leur faire prendre une autre direction, la direction vers le haut, c'est-à-dire vers l'esprit, vers la vie intérieure. En réalité les gens n'ont jamais compris la véritable raison du progrès technique. Tous ces ustensiles, ces appareils, ces machines, ces moyens de locomotion, est-ce simplement pour que les humains ne fassent plus rien - même plus marcher - puisqu'il existe des objets qui font tou à leur place ? Non, ces améliorations sont venues pour qu'ils puissent se libérer des tâches matérielles et prosaïques qui les écrasent, et se consacrer enfin à des activités spirituelles, divines. Voilà la véritable signification du progrès technique : libérer l'homme, mais en vue d'autres travaux. Sinon c'est très mauvais ; si l'homme n'a plus rien d'autre à faire que de s'étaler quelque part sur le sable ou dans l'herbe, stagner et moisir pendant que les machines travaillent, c'est très mauvais pour lui. Il faut comprendre maintenant que l'intelligence cosmique a permis tous ces progrès matériels pour que l'homme enfin dégagé des tâches prosaïques, puisse se consacrer à des activités sublimes."
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Organisée par l'association Emergence, avait lieu le mercredi 25 mai 2016 une conférence pour le moins bouleversante au Congrès de la Nouvelle-Calédonie. Elle avait pour thème "Les Valeurs Océaniennes, Source de Réussite". Cette conférence animée par Monsieur Herewini Jones, conférencier Maori et expert culturel, était d'un caractère bien particulier. Dès le début de son intervention une atmosphère mystique s'est emparée de l'hémicycle. Qui ne s'est jamais laissé emporter par des récits ancestraux dans lesquels la nature revêt son aura magique ? Et oui, il était bien question de magie et surtout de sacré. Ce sacré transmis de génération en génération qui fait de la Nouvelle-Zélande ce qu'elle est aujourd'hui. Lorsque l'on parle de rugby aujourd'hui on pense tout de suite aux All Blacks et à leur mythique Haka que chaque joueur, Maori ou non, maîtrise à la perfection. La culture Maori est enseignée en Nouvelle-Zélande dès le plus jeune âge sans distinction d'origine ou de classe sociale. Par le biais de la culture c'est aussi la langue qui est apprise ainsi que le Haka. C'est ce qui a créé cette unicité de la Nouvelle-Zélande que l'on connait de nos jours. Monsieur Jones, par le choix de petits exercices simples, nous a démontré que nous avons tous instinctivement les mêmes connaissances, la même conscience du monde qui nous entoure sans que nous nous en rendions compte. Ces connaissances communes, que l'on soit d'origine océanienne ou occidentale, nous viennent de la nature et c'est ce qu'il a démontré au travers de symboles tels qu'un fleuve ou le lin de Nouvelle-Zélande (flax) plante emblématique Maori. Grace à cette approche, Monsieur Jones a pu aider des Maoris à sortir de l'alcool ou de la délinquance, entre autre, en leur rappelant leurs origines, leur culture ce qui les a amenés à une vraie prise de conscience. C'est en connaissant son histoire et sa culture qu'un peuple peut se construire et transmettre des valeurs fortes aux générations futures. C'est en rassemblant autour de valeurs communes que l'on crée l'unicité. Ce n'est pas pour autant que la culture occidentale est délaissée en Nouvelle-Zélande, non bien au contraire, la culture Maori a su s'adapter à la société moderne. C'est en ça que le Nouvelle-Zélande est un très bel exemple pour le Nouvelle-Calédonie. C'est au travers de la culture kanak, peuple premier, que la construction du pays doit se faire avec les autres peuples qui le composent. C'est de sacré dont a besoin la Nouvelle-Calédonie pour créer ses valeurs communes et pour se construire. Ce sont des hommes et des femmes comme Monsieur Jones qui vont pouvoir nous aider à remettre du sacré dans nos vies. David Rizet-Blancher La valeur ajoutée du nickel en Nouvelle-Calédonie représente environ 10% du PIB du Territoire. La part du nickel est donc très faible dans l’économie du pays. Toutefois, cela représente 90% à 95% des exportations. On a donc une économie vers l’extérieur qui est quasi exclusivement basée sur le nickel et qui apporte très peu de retombées à la Nouvelle-Calédonie. L’exploitation du nickel n’est malheureusement pas une activité durable puisque les ressources s’amenuisent à chaque bateau qui quitte l’île. L’activité minière et industrielle n’est pas non plus sans conséquence pour l’environnement. On peut donc se poser la question suivante : comment créer de la valeur ajoutée en Nouvelle-Calédonie ? La réponse : faire de la Nouvelle-Calédonie un laboratoire géant, une vitrine ouverte sur le monde en termes de protection environnementale et d’innovation dans les domaines des énergies renouvelables, de l’agro-écologie, l’habitat, etc… La Nouvelle-Calédonie pourrait se placer au centre de la culture océanienne en devenant un exemple du vivre ensemble au niveau mondial. Tous ces travaux de recherche et de développement nécessiteraient la venue de scientifiques et d’experts. Qui ne rêverait-il pas de venir dans une île paradisiaque pour faire de la recherche ? L’aspect cadre de vie étant réglé, reste l’aspect financier. La recherche et développement est un secteur très porteur, d’autant plus qu’il s’agit de développement durable dont nous parlons et la Nouvelle-Calédonie aurait tout à gagner à devenir la nouvelle Silicon Valley dans ce domaine. Sa biodiversité, le classement de son lagon au patrimoine mondial de l’Unesco lui donnent toute légitimité. Ainsi, les retombées économiques et financières pourraient être suffisamment importantes pour payer les chercheurs et pour créer donc plus de valeur ajoutée. De quoi mettre le Pays à l’abri du besoin en étant autonome financièrement. En parallèle, il s’agit aussi, bien évidemment, de protéger cette biodiversité et les cultures locales en limitant la production industrielle et en développant un tourisme vert et axé sur les cultures du Pays. La Nouvelle-Calédonie aurait tout à gagner en devenant LA destination éco-tourisme en Océanie et pourquoi pas au niveau mondial en devenant la référence dans ce domaine. Tout est possible. Ce sont les petites initiatives en se regroupant qui pourront permettre d’atteindre ce niveau d’excellence et cette notoriété. L’Océan est fait d’une multitude de goutte d’eau. Soyons l’une de ces gouttes. David Rizet-Blancher Lettre à ma génération : moi je n'irai pas qu'en terrasse - Sarah Roubato - MEDIAPART- 20/11/2015 Voilà un texte plein de générosité, plein de paix, plein de bon sens et surtout plein d'amour. L'auteur Sarah Roubato a posé noir sur blanc ce que beaucoup d'entre nous ont au fond de leur coeur sans toujours savoir l'exprimer ou le partager aussi bien qu'elle l'a fait. Son article est bien sûr centré sur les évènements du vendredi 13 novembre 2015 à Paris cependant il va plus loin en nous invitant à être responsable. Responsable de ce qu'il s'est passé. Oui, c'est très certainement dur à admettre mais nous sommes tous responsable. Nous sommes responsables par nos pensées, par nos attitudes, par nos actions, par nos façons de vivre, par notre façon de consommer entre autres. On peut profiter de la vie sans virer dans les extrêmes, sans virer dans les abus. Ce sont ces mêmes abus qui sont à la sources de tant de malheurs dans le monde. Changeons notre regard sur nous-même, sur les autres et sur le monde. Soyons responsable. Merci Sarah. Lettre à ma génération : moi je n'irai pas qu'en terrasse - Sarah Roubato - MEDIAPART- 20/11/2015 Sympa cet article du Huffington Post ainsi que la vidéo partagée : VIDEO. Marty McFly et Doc de Retour vers le futur débarquent chez Jimmy Kimmel
Et non. Marty, Doc désolé mais effectivement le monde n'est pas tel que vous l'imaginiez en 1985. Le réchauffement climatique entre autres n'était pas au coeur des préoccupations hors il est aujourd’hui un problème planétaire. Heureusement il y a tout de même de bonnes choses qui sont arrivées jusqu'à nous et notamment les énergies renouvelables représentées par le générateur à fusion de Doc dans lequel il utilise des détritus. Bon certes ce n’est pas encore le générateur à fusion aujourd’hui cependant il y a beaucoup d’initiatives bien éclairées autour du monde qui travaillent à créer son équivalent dans leur garage, comme toi Doc. L’avantage c’est qu’avec Internet ils peuvent sortir de l’anonymat pour ainsi pouvoir partager leurs inventions avec le plus grand nombre afin qu’elles soient utilisées et améliorées. J’ose ainsi imaginer que si l’on voyageait dans le futur aujourd’hui, et plus exactement en 2045, on ne parlerait plus de pollution. Les énergies fossiles auront été remplacées par les énergies renouvelables. La faim dans le monde ne sera qu’un lointain souvenir car notre planète est assez grande et généreuse pour que tout le monde puisse manger à sa faim. J’ose aussi imaginer un monde où les richesses seront partagées car la recherche de gain et de pouvoir à tout prix ne font que gangréner nos sociétés. J’ose imaginer un monde dans lequel les humains respecteront enfin les autres humains et dans lequel ils respecteront enfin la nature qui est la source de toute vie sur notre si belle planète.
http://lescarnetsdemademoiselle.com/2015/02/22/quand-le-futur-rencontre-le-passe/ Lorsque nous sommes arrivés en Suisse et avons emménagé dans notre home sweet home, le propriétaire nous avertit que nous aurions beaucoup de nettoyage à faire sur le terrain derrière la maison car il était envahi de ronces. Nous eûmes une belle surprise quand nous nous rendîmes compte qu’en fait de ronces il s’agissait de centaines de pieds de fraises des bois. Nous les avons bichonnées nos ronces, aérées, offertes au soleil et elles nous ont donné des kilos de fraises vite mangées et vite transformées en pots de confiture. Il y avait aussi de la lavande (Si si on trouve de la lavande dans presque tous les jardins en Suisse) et là aussi le propriétaire prophétisa que les pieds étaient morts et qu’ils ne résisteraient pas à l’hiver. Nous avons encore au moins plus d’une dizaine, et ce même après en avoir offert, de sachets remplis de fleurs de lavande. Ce souvenir nous revient à l’esprit aujourd’hui où on nous parle de permaculture, l’art d’apprendre (moyennant finance) à laisser les graines pousser naturellement (Allez dire ça à ma mère et ma grand-mère qui vous rétorqueront en ricanant : alors en jetant mes graines je faisais de la permaculture sans le savoir !?) et je me dis que, finalement, l’avenir de la permaculture sera de reconnaître les plantes que nous avons dans nos jardins et de les laisser grandir harmonieusement et naturellement surtout. Je pense à la méditation, qui devient un business très lucratif : si on avait dit ça à Archimède quand il a crié eurêka, il aurait laissé tomber son expérience et aurait plutôt vendu la manière dont il a trouvé l’idée. Je pense à mes grands-parents qui avaient tant de fierté à tenir leur maison propre, s’ils avaient su que de nettoyer sa maison et de la tenir rangée pouvaient leur rapporter de l’argent, ils auraient été millionnaires ! Je pense à Maria Montessori qui aimait tant accompagner les enfants et souhaitait les aider à vivre, bien grandir dans leur environnement, qui si elle voyait tout ce que nos maisons contiennent d’objets, conseillerait à tout accompagnant de faire avec ce qu’il y a dans les maisons et non pas de dépenser des fortunes pour des jeux, des outils estampillés Montessori et qui coûtent si chers. Je pense au grand-père de Monsieur Mari qui réparait et inventait tant d’objets, d’où il est, il doit se dire qu’il aurait pu faire fortune dans le recyclage ou alors en donnant des cours pour apprendre aux gens à planter un clou. Alors oui le monde bouge, le monde avance, d’accord mais ce que nous pensons être des nouveautés existent depuis bien longtemps. Ne nous trompons pas et ne nous laissons pas tromper. Après avoir laissé des groupes de personnes faire de l’argent avec nos sources d’eau naturelle, va-t-on laisser des groupes de personnes faire encore de l’argent avec le bon sens, le naturel en nous faisant croire que c’est nouveau, voire même à la mode ? Il va nous falloir être vigilants et savoir trier le bon grain de l’ivraie… I love it! - Marty McFly & Doc Brown Visit Jimmy Kimmel Live:
https://www.youtube.com/watch?v=Q0VGRlEJewA&feature=youtu.be Nope. Marty, Doc sorry but the world is not as you imagined it back in 1985. Climate change between other things wasn’t the main concern however it is nowadays a major problem for our planet. Fortunately good things reached us and one of them is renewable energy represented by Doc’s fusion generator working with waste. Well the fusion generator doesn’t exist yet however there are lots of well-enlightened initiatives around the world working at creating the equivalent in their garage, like you Doc. The advantage is that with Internet they go public in order to share their inventions with the greatest number so that they are used and improved. I dare to imagine that if we could travel in time today to go in 2045, we wouldn’t talk about pollution anymore. Fossil fuel would have been replaced by renewable energy. Hunger in the world will be a distant memory because our planet is big and generous enough to feed everyone. I dare to imagine a world where wealth will be shared because the race for profit and power at all price is gangrene for our societies. I dare to imagine a world where humans will respect each other and where at last they will respect nature, the source of all lives on our so beautiful planet. Notre monde est effectivement en pleine évolution. On le sens bien même si l'on n'est pas toujours en mesure de comprendre ce qu'il se passe. Cet interview de Marc Luyckx Ghisi vous permettra probablement d'y voir un peu plus clair. Le nouveau paradigme consiste à valoriser le capital humain. Le profit pour le profit n'a plus sa place. Il est temps de se reprogrammer est de vivre avec son temps dans ce nouveau paradigme. |
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June 2019
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